Passer au contenu Les cirrus Ă©levĂ©s sont poussĂ©s par le courant-jet et peuvent se dĂ©placer Ă plus de 100 mph. Les nuages ââqui font partie dâun orage se dĂ©placent gĂ©nĂ©ralement Ă 30 Ă 40 octobre 2019 Ă quelle vitesse les nuages ââse dĂ©placent-ils en moyenne ? GĂ©nĂ©ralement, les nuages ââpeuvent se dĂ©placer 30-120 miles par heure. Cela dĂ©pend de la situation et du type de nuage qui dĂ©termine la vitesse. Par exemple, les cirrus Ă©levĂ©s peuvent se dĂ©placer Ă une vitesse de plus de 100 mph pendant le courant-jet. Les nuages ââpendant lâorage peuvent se dĂ©placer Ă une vitesse allant jusquâĂ 30 Ă 40 mph. Les nuages ââse dĂ©placent-ils plus vite que la Terre ? Les nuages ââet lâatmosphĂšre en gĂ©nĂ©ral se dĂ©placer avec la rotation de la Terre. En raison du frottement avec la surface de la Terre, lâatmosphĂšre et les nuages ââqui sây trouvent sont emportĂ©s par la rotation de la Terre. Câest pourquoi, par exemple, les nuages ââne se dĂ©placent pas Ă 1 000 mph au-dessus de lâĂ©quateur, qui tourne Ă 1 000 mph. Les nuages ââbougent-ils vraiment ? Les nuages ââse dĂ©placent parce que le vent transporte la parcelle dâair nuageux. ⊠Parfois, il peut ne pas y avoir de vent au sol, mais on peut voir des cirrus trĂšs haut se dĂ©placer Ă cause du vent oĂč ils se trouvent. Certains nuages, comme les nuages ââlenticulaires qui se forment au-dessus des collines, sont stationnaires mĂȘme lorsque le vent est fort. Quâest-ce que cela signifie lorsque les nuages ââse dĂ©placent rapidement ? Les nuages ââsont constituĂ©s de vapeur dâeau, qui peut ensuite tomber au sol sous forme de pluie, de grĂȘle ou de neige. Plus tu montes dans le ciel, plus les nuages ââse dĂ©placent rapidement. Câest parce que le vent est plus rapide Ă des hauteurs plus Ă©levĂ©es au-dessus de la surface. ⊠Ces nuages ââsuivent un vent particuliĂšrement fort, appelĂ© jet stream. Pouvez-vous toucher un nuage? Eh bien, la rĂ©ponse simple est oui, mais nous y reviendrons. Les nuages ââsemblent ĂȘtre duveteux et amusants Ă jouer, mais ils sont en fait constituĂ©s de milliards de âgouttelettes de nuagesâ. ⊠NĂ©anmoins, si vous pouviez toucher un nuage, il nâaurait vraiment lâair de rien, juste un peu humide. Combien pĂšse un nuage ? Un nuage typique a un volume dâenviron 1 km3 et une densitĂ© dâenviron 1,003 kg par m3, soit environ 0,4 % de moins que celle de lâair ambiant, câest pourquoi il flotte. Donc, en parcourant les calculs, cela signifie quâun nuage typique pĂšse environ un million de tonnes. Pourquoi ne sentons-nous pas la terre tourner ? Conclusion Nous ne sentons pas la Terre tourner sur son axe parce que la Terre tourne rĂ©guliĂšrement â et se dĂ©place Ă une vitesse constante en orbite autour du soleil â vous emportant en tant que passager avec lui. Ă quelle vitesse la terre tourne-t-elle ? environ 1 000 milles Ă lâheureLa terre tourne une fois toutes les 23 heures, 56 minutes et 4,09053 secondes, appelĂ©e pĂ©riode sidĂ©rale, et sa circonfĂ©rence est dâenviron 40 075 kilomĂštres. Ainsi, la surface de la Terre Ă lâĂ©quateur se dĂ©place Ă une vitesse de 460 mĂštres par seconde, soit environ 1 000 miles par heure. Pourquoi les nuages ââdeviennent GRIS ? Lorsque les nuages ââsont fins, ils laissent passer une grande partie de la lumiĂšre et apparaissent blancs. Mais comme tous les objets qui transmettent de la lumiĂšre, plus ils sont Ă©pais, moins la lumiĂšre passe Ă travers. Comme leur Ă©paisseur augmente, le fond des nuages ââsemble plus sombre mais disperse toujours toutes les couleurs. Nous percevons cela comme gris. Pouvons-nous voir la terre tourner ? Comme dâautres lâont soulignĂ©, vous pouvez âvoirâ la rotation de la Terre en regardant les Ă©toiles tourner autour dâun point proche de lâĂ©toile polaire. La rotation de la Terre rĂ©duit Ă©galement le poids que vous pesez lorsque vous voyagez vers lâĂ©quateur, en raison de la force centrifuge de la rotation. Comment se sentent les nuages ââ? La plupart dâentre eux finissent par ĂȘtre lĂ©gĂšrement déçus car un nuage ne ressemble Ă rien, mais câest un bon dĂ©but de conversation ! ⊠Ces nuages augmenter lâalbĂ©do de la planĂšte la fraction de la lumiĂšre solaire rĂ©flĂ©chie vers lâespace et refroidit gĂ©nĂ©ralement la surface de la Terre. Quâest-ce qui rend les nuages ââsombres ? Les nuages ââsont des accumulations visibles de minuscules gouttelettes dâeau ou de cristaux de glace dans lâatmosphĂšre terrestre. ⊠Quand il est sur le point de pleuvoir, les nuages ââsâassombrissent parce que la vapeur dâeau sâagglutine en gouttes de pluie, laissant de plus grands espaces entre les gouttes dâeau. Moins de lumiĂšre est rĂ©flĂ©chie. Le nuage de pluie apparaĂźt noir ou gris. Les nuages ââsont-ils lourds ? Ils peuvent sembler tout lĂ©gers et moelleux, mais la rĂ©alitĂ© est que les nuages ââsont en fait assez lourds. Les chercheurs ont calculĂ© que le cumulus moyen â qui est ce joli nuage blanc et pelucheux que vous voyez par une journĂ©e ensoleillĂ©e â pĂšse un incroyable 500 000 kg ou 1,1 million de livres !. Ă quoi ressemblent les nuages ââavant une tornade ? Un nuage en entonnoir est gĂ©nĂ©ralement visible sous la forme dâune protubĂ©rance en forme de cĂŽne ou dâaiguille Ă partir de la base principale du nuage. Les nuages ââââen entonnoir se forment le plus souvent en association avec des orages supercellulaires et sont souvent, mais pas toujours, un prĂ©curseur visuel des tornades. Comment trouver la vitesse des nuages ââ? En utilisant cet angle, la distance, D, Ă laquelle les nuages ââse dĂ©placent rĂ©ellement dans le ciel est D = htanA. Une alternative avec une petite erreur, utilisant des triangles similaires, est D = hw/e. La vitesse est alors simplement D/t. Peut-on mettre un nuage dans un bocal ? Remplissez environ 1/3 de votre bocal avec lâeau chaude. ⊠Retirez rapidement le couvercle, vaporisez-en un peu dans le bocal et remettez rapidement le couvercle. Vous devriez voir un nuage se former. Regardez ce qui se passe Ă lâintĂ©rieur du bocal, lâair se condense, crĂ©ant un nuage. Un nuage peut-il tomber au sol ? Un nuage ne TOMBE gĂ©nĂ©ralement pas au sol sauf si vous comptez la pluie, qui nâest plus vraiment un nuage, mais câest lâeau du nuage. Mais il est trĂšs courant quâun nuage se FORME sur le sol, et cela sâappelle du brouillard. Peut-on toucher lâarc-en-ciel ? Non, vous ne pouvez pas toucher un arc-en-ciel car ce nâest pas un objet physique, mais câest plutĂŽt une rĂ©flexion, une rĂ©fraction et une dispersion de la lumiĂšre du soleil Ă lâintĂ©rieur des gouttelettes dâeau dans lâatmosphĂšre. La cause de lâarc-en-ciel peut ĂȘtre due Ă de nombreuses formes dâeau dans lâair comme la pluie, la brume, les embruns et la rosĂ©e en suspension dans lâair, etc. Pourquoi les nuages ââne tombent-ils pas ? Lâeau nâest pas plus lĂ©gĂšre que lâair â lâeau ne flotte pas. Alors pourquoi les nuages ââne tombent-ils pas du ciel ? Les deux principales raisons pour lesquelles les nuages âârestent dans le ciel sont 1 petites gouttes, et 2 vent. ⊠Parce que les petites gouttes ont moins de masse et plus de surface que les grosses gouttes, elles ont plus de mal Ă repousser lâair. Pourquoi les nuages ââsont-ils blancs ? Les nuages ââsont blancs parce que la lumiĂšre du soleil est blanche. ⊠Mais dans un nuage, la lumiĂšre du soleil est dispersĂ©e par des gouttelettes dâeau beaucoup plus grosses. Celles-ci dispersent presque Ă©galement toutes les couleurs, ce qui signifie que la lumiĂšre du soleil continue de rester blanche et que les nuages ââââapparaissent ainsi blancs sur le fond du ciel bleu. Quelle est la tempĂ©rature dâun nuage ? Les nuages ââsont constituĂ©s de minuscules gouttelettes dâeau ou de cristaux de glace â souvent, lâeau et la glace sont prĂ©sentes ensemble lorsque les tempĂ©ratures se situent entre le point de congĂ©lation 32 degrĂ©s Fahrenheit et -32,8 degrĂ©s Fahrenheit -36 degrĂ©s Celsius. Que se passerait-il si la Terre sâarrĂȘtait de tourner pendant 5 secondes ? Ce ne serait pas bon. A lâĂ©quateur, le mouvement de rotation de la terre est Ă son maximum, environ mille miles Ă lâheure. Si ce mouvement sâarrĂȘtait soudainement, lâĂ©lan enverrait les choses voler vers lâest. Les roches et les ocĂ©ans en mouvement feraient dĂ©clencher des tremblements de terre et des tsunamis. Pourrions-nous un jour perdre la gravitĂ© ? Sans gravitĂ©, les humains et les autres objets deviendraient en apesanteur. ⊠Câest parce que la planĂšte continuerait Ă tourner, sans exercer de gravitĂ© pour maintenir les objets attachĂ©s Ă elle [source Domanico]. Une perte de gravitĂ© signifierait Ă©galement que la planĂšte cesserait dâaspirer lâair, lâeau et lâatmosphĂšre terrestre. Un avion peut-il voler plus vite que la Terre ne tourne ? Ă moins quâils ne volent trĂšs prĂšs des pĂŽles. Rappelez-vous, la vitesse de rotation dĂ©pend de la latitude. Cependant, par rapport au centre de la Terre, les aĂ©ronefs volent plus vite ou plus lentement que la vitesse de rotation sâils se dĂ©placent vers lâest ou lâouest. Sâils volent du nord au sud, ils correspondent Ă la vitesse de rotation de la Terre. Quel Ăąge a la Terre ? 4,543 milliards dâannĂ©es La lune tourne-t-elle ? La lune tourne sur son axe. Une rotation prend presque autant de temps quâune rĂ©volution autour de la Terre. ⊠Au fil du temps, il a ralenti en raison de lâeffet de la gravitĂ© terrestre. Les astronomes appellent cela un Ă©tat âverrouillĂ© par les marĂ©esâ car il restera dĂ©sormais Ă cette vitesse. Le soleil orbite-t-il quelque chose ? Le Soleil orbite-t-il quelque chose ? Oui! Le Soleil tourne autour le centre de notre Voie lactĂ©e, qui est une galaxie spirale. Il est situĂ© Ă environ les deux tiers de la sortie du centre de la Voie lactĂ©e, Ă environ 28 000 annĂ©es-lumiĂšre. Pourquoi les nuages ââsont-ils blancs 10 ? Les nuages ââapparaissent blancs Ă cause de la dispersion. Les gouttelettes dans les nuages ââsont grosses par rapport Ă la longueur dâonde de la lumiĂšre, donc toutes les longueurs dâonde diffusent de la mĂȘme maniĂšre. ⊠Celles-ci sont beaucoup plus petites que la longueur dâonde de la lumiĂšre, donc la lumiĂšre bleue diffuse beaucoup plus que le rouge. Pourquoi les nuages ââdeviennent-ils verts avant une tornade ? La lumiĂšre traversant les nuages ââcroise des gouttelettes dâeau ou potentiellement de la grĂȘle, un dĂ©tail que les chercheurs nâont pas rĂ©solu. Alors que la lumiĂšre du soleil sort de lâautre cĂŽtĂ© de la tempĂȘte qui se prĂ©pare, lâinterfĂ©rence de lâeau bleue fait le vert clair. Quâest-ce quâun nimbe ? Un nuage nimbostratus est un nuage Ă plusieurs niveaux, amorphe, presque uniforme et souvent gris foncĂ© qui produit gĂ©nĂ©ralement de la pluie, de la neige ou du grĂ©sil en continu, mais pas dâĂ©clairs ni de tonnerre. ⊠Nimbostratus produit gĂ©nĂ©ralement des prĂ©cipitations sur une vaste zone. Nimbo- vient du mot latin nimbus, qui dĂ©signe nuage ou halo. Pourquoi la lune ne tourne-t-elle pas ? Lâillusion de la lune qui ne tourne pas de notre point de vue est causĂ©e par verrouillage de marĂ©e, ou une rotation synchrone dans laquelle un corps verrouillĂ© prend autant de temps pour orbiter autour de son partenaire que pour tourner une fois sur son axe en raison de la gravitĂ© de son partenaire. Les lunes des autres planĂštes subissent le mĂȘme effet. Que se passe-t-il si la Terre tourne plus vite ? Bouton Retour en haut Navigation de lâarticle
Si deux objets se dĂ©placent en mĂȘme temps. direction Ă diffĂ©rentes vitesses Si vitesse du 1er objet. = x km/h et Vitesse du 2e objet = y km/h Par consĂ©quent, leur vitesse relative = x â y km/h [x > y], alors Temps aprĂšs lequel les deux objets se rencontrent = distance / relatif. vitesse = d km/ x â y km/h Nous savons que la vitesse d'un objet par rapport Ă un autre l'est. appelĂ© vitesse relative. Si le temps aprĂšs lequel ils se rencontrent est donnĂ©, c'est-Ă -dire temps = t h. Ensuite, distance parcourue en t » heures = temps Ă vitesse relative = t heures Ă x â y km/h Nous allons maintenant apprendre Ă calculer quand deux objets se dĂ©placent dans la mĂȘme direction Ă des vitesses diffĂ©rentes. Exemples rĂ©solus Deux athlĂštes courent du mĂȘme endroit Ă la vitesse de. 6 km/h et 4 km/h. trouver la distance entre eux aprĂšs 10 minutes s'ils. aller dans le mĂȘme sens. Solution Quand ils se dĂ©placent dans la mĂȘme direction, Leur vitesse relative = 6 â 4 km/h = 2 km/h Temps pris = 10 minutes Distance parcourue = vitesse Ă temps = 2 Ă 10/60 km = 1/3km = 1/3 Ă 1000 m = 333,3 m Vitesse du train Relation entre la vitesse, la distance et le temps Conversion d'unitĂ©s de vitesse ProblĂšmes de calcul de vitesse ProblĂšmes de calcul de la distance ProblĂšmes de calcul du temps Deux objets se dĂ©placent dans la mĂȘme direction Deux objets se dĂ©placent dans la direction opposĂ©e Le train passe un objet en mouvement dans la mĂȘme direction Le train passe un objet en mouvement dans la direction opposĂ©e Le train passe Ă travers un poteau Le train passe par un pont Deux trains passent dans la mĂȘme direction Deux trains passent dans la direction opposĂ©e Pratique des mathĂ©matiques en 8e annĂ©eDe deux objets se dĂ©placent dans la mĂȘme direction vers la PAGE D'ACCUEIL Vous n'avez pas trouvĂ© ce que vous cherchiez? Ou souhaitez en savoir plus. Ă proposMathĂ©matiques uniquement MathĂ©matiques. Utilisez cette recherche Google pour trouver ce dont vous avez besoin.
Voirsi toutes les fourmis sont de la mĂȘme taille et de la mĂȘme maniĂšre ou si certaines sont beaucoup plus grandes que d`autres. Vous pouvez Ă©galement observer comment ils chargent la nourriture, sa vitesse, son modĂšle d`itinĂ©raire ou mĂȘme les postures qu`ils adoptent lorsqu`ils les ennuient. La plupart de ces dĂ©tails ne seront pas mentionnĂ©s dans ce guide, mais ils pourront revenir Ă astronomie Tous les rayonnements Ă©lectromagnĂ©tiques se dĂ©placent Ă la mĂȘme vitesse dans le vide? Meilleure VidĂ©o Meilleure RĂ©ponse La vitesse de la lumiĂšre dans le vide, habituellement notĂ©e c, est une constante physique de lUnivers qui est importante dans plusieurs domaines de la de la lumiĂšre et de sa vitesse remonte Ă lAntiquitĂ©. Des philosophes et des scientifiques, en sappuyant sur des arguments thĂ©oriques ou des observations, affirment que sa vitesse est infinie, alors que dautres prĂ©tendent que non. Cest en 1676 quOle RĂžmer dĂ©montre quelle est finie. Les scientifiques sattachent ensuite Ă dĂ©terminer sa valeur par divers moyens. Vers la fin du XX Ă la suite dun accord philosophe grec HĂ©ron dAlexandrie qui a vĂ©cu au 1 qui relie la masse Ă des siĂšcles de mesures de plus en plus prĂ©cises, la vitesse de la lumiĂšre dans le vide est Ă©tablie en 1975 Ă la valeur de 299792458m/s avec une incertitude de 4 parties par milliard. En 1983, le mĂštre est redĂ©fini dans le SystĂšme international dunitĂ©s en fonction de la vie de tous les jours, la lumiĂšre semble se dĂ©placer instantanĂ©ment, mais sur de longues distances ou dans des instruments de mesure trĂšs prĂ©cis, des effets permettent de dĂ©duire que sa vitesse est les matĂ©riaux transparents et les conducteurs Ă©lectriques, les ondes Ă©lectromagnĂ©tiques se dĂ©placent plus lentement que vitesses de certains phĂ©nomĂšnes ondulatoires et de certains objets cĂ©lestes peuvent ĂȘtre plus grandes que vitesse dexpansion de lUnivers excĂšde c hors de certaines limites gĂ©omĂ©triques. Bien que cette vitesse soit le plus souvent associĂ©e Ă la lumiĂšre, cest aussi celle de toute particule sans masse et de toute perturbation dans un champ situĂ© dans le vide, incluant les ondes gravitationnelles et les ondes Ă©lectromagnĂ©tiques .Les particules dotĂ©es dune masse au repos peuvent approcher de c, mais ne peuvent latteindre, peu importe le rĂ©fĂ©rentiel inertiel dans lequel leur vitesse est mesurĂ©e. RĂ©pondre Ă la question Mr Santos court partout lorsquâil se fait attaquĂ© par des fourmis! Transformez la graphique position-temps Ă un graphique qui illustre la relation entre la vitesse-vectorielle et le temps. a) Combien de fois est-il immobile? b) Quand est-ce que M. Santos atteigne sa plus grande vitesse? c) Durant quels intervalles de temps est-ce quâil ralentit? d) Combien de fois change-t C'est la lumiĂšre la plus vieille du monde et les cosmologistes s'apprĂȘtent Ă l'analyser comme jamais une fois que le satellite Planck, qui commence Ă travailler, en aura dressĂ© la carte sur la sphĂšre cĂ©leste. A l'occasion de la FĂȘte de la science, Laurence Perotto, du Groupe Planck, nous expliquera en dĂ©tail comment procĂšdent les astrophysiciens. En guise de mise en bouche et pour rafraĂźchir nos mĂ©moires, voici un rappel sur l'origine du rayonnement de fond diffus et sur ce qu'il peut nous dire sur le satellite Planck devant une image du CMB. CrĂ©dit Esa Cela vous intĂ©ressera aussiL'Ă©vĂ©nement Ă l'origine du rayonnement fossile que Planck observe aujourd'hui s'est produit il y a presque 13,7 milliards d'annĂ©es, environ ans aprĂšs la naissance » de l'Univers observable. La tempĂ©rature du plasma d'Ă©lectrons, de noyaux lĂ©gers et de photons contenu alors dans le Cosmos a baissĂ© suffisamment pour que des atomes se forment et, telle une brume se dissipant, la matiĂšre a enfin laissĂ© libre cours Ă la lumiĂšre dont les photons ont pu commencer Ă parcourir l' ce fut aussi le dĂ©but de ce que l'on appelle les Ages sombres car Ă cette Ă©poque oĂč la matiĂšre normale neutre, sous forme essentiellement d'atomes d'hydrogĂšne et d'hĂ©lium, commençait Ă se rassembler dans des zones de surdensitĂ©s dominĂ©es par la matiĂšre noire, aucune Ă©toile n'existait encore. Il faudra quelques centaines de millions d'annĂ©es pour que la premiĂšre gĂ©nĂ©ration d'Ă©toiles, et aussi de trous noirs accrĂ©tant de la matiĂšre, re-ionise Ă nouveau une partie de l'Ă©toffe cosmique. Les milliards de milliards d'Ă©toiles gĂ©antes dans les galaxies en formation Ă©taient donc devenues suffisamment nombreuses pour que l'on puisse alors parler d'une vĂ©ritable Renaissance cosmique mettant fin aux Ages les photons Ă©mis au moment de la recombinaison n'avaient pas disparu et ils sont mĂȘme un milliard de fois plus nombreux que les nuclĂ©ons prĂ©sents dans l'Univers observable. Cette vĂ©ritable lumiĂšre fossile est encore prĂ©sente autour de nous aujourd'hui mais, depuis son Ă©mission ans aprĂšs le Big Bang, l'expansion de l'Univers n'a cessĂ© d'en allonger la longueur d'onde et d'en faire baisser la tempĂ©rature Ă la façon d'un gaz se et ondes gravitationnelles, les autres fossilesIl existe aussi d'autres lumiĂšres » fossiles. Ainsi, bien que l'on sache maintenant qu'ils possĂšdent une lĂ©gĂšre masse et qu'ils ne se dĂ©placent donc pas tout Ă fait Ă la vitesse de la lumiĂšre, les particules de matiĂšre que sont les neutrinos sont 3 milliards de fois plus abondantes que les nuclĂ©ons et elles aussi nous traversent de part en part en permanence sans que nous ne nous en rendions un temps, on a mĂȘme pensĂ©, qu'avec leur trĂšs faible masse, les neutrinos dominaient tout de mĂȘme la dynamique de la matiĂšre dans l'Univers et qu'ils constituaient la fameuse matiĂšre noire dont on a besoin pour expliquer l'apparition des galaxies et la stabilitĂ© des amas de galaxies. Cette hypothĂšse a aujourd'hui Ă©tĂ© abandonnĂ©e, les neutrinos n'Ă©tant pas assez lourds, comme la dĂ©couverte de leurs oscillations nous l'ont appris. Cependant, si les particules de matiĂšre noire ne sont pas majoritairement des neutrinos, ces derniers apportent une petite contribution, qui n'est probablement pas nĂ©gligeable, pour expliquer prĂ©cisĂ©ment les grandes structures dans l' y a enfin une autre lumiĂšre », trĂšs primitive et trĂšs fondamentale celle-lĂ , car il s'agit d'un Ă©tat de vibration du tissu mĂȘme de l'espace et du temps. Il s'agit des ondes gravitationnelles. On a des raisons de penser que, s'il a existĂ© une phase d'expansion accĂ©lĂ©rĂ©e environ 10-35 seconde aprĂšs le dĂ©but » de l'Univers observable, comme l'implique la thĂ©orie de l'inflation, alors l'effet de ces ondes a Ă©tĂ© amplifiĂ© de telle sorte que des observations indirectes de ces derniĂšres devraient ĂȘtre Ă portĂ©e de la thĂ©orie du Big Bang a commencĂ© Ă recevoir ses premiĂšres confirmations observationnelles, avec justement la mise en Ă©vidence du rayonnement fossile laissĂ© par la recombinaison, les cosmologistes n'ont pas tardĂ© Ă comprendre qu'ils dĂ©tenaient lĂ un moyen d'Ă©tudier non seulement la naissance » de l'Univers observable mais aussi de mieux connaĂźtre sa forme, sa composition et mĂȘme son cela, de mĂȘme que l'Ă©tude du spectre des Ă©toiles nous a livrĂ© des informations de toutes sortes sur ces derniĂšres, y compris leurs structures internes Ă l'aide de l'astĂ©ro-sismologie, il faut ĂȘtre capable de mesurer trĂšs prĂ©cisĂ©ment les caractĂ©ristiques de ce rayonnement fossile. C'est pourquoi des sondes, comme Cobe et WMap, ont Ă©tĂ© conçues et lancĂ©es. Elles ont rĂ©volutionnĂ© notre comprĂ©hension de l'Univers et de la thĂ©orie du Big Bang. Aujourd'hui, c'est le satellite Planck de l'Esa qui leur succĂšde et l'on attend beaucoup des informations qu'il va nous livrer en mesurant d'une façon inĂ©galĂ©e les caractĂ©ristiques du rayonnement de fond quelques Ă©lĂ©ments pour comprendre l'enjeu et la difficultĂ© de la mission Planck et surtout, pour mieux nous Ă©clairer sur le sujet, une interview de l'une des cosmologistes françaises qui va analyser les donnĂ©es que Planck est en train dâenregistrer en orbite autour du point de Lagrange L2 suivra cet l'on devait caractĂ©riser en peu de mots le rayonnement fossile, le Cosmic Microwave Background ou CMB comme disent les auteurs anglo-saxons, ce serait en disant qu'il possĂšde un spectre de corps noir presque parfait. C'est cette caractĂ©ristique qui en fait une preuve solide du Big Bang BB et a permis de rĂ©futer le modĂšle de l'Univers Stationnaire de Hoyle, Bondi et Gold en prĂ©diction du rayonnement d'un corps noirRappelons que dans la thĂ©orie du BB sous la forme donnĂ©e par Gamow, il existait, au dĂ©but de l'Univers, une phase chaude et trĂšs dense, constituĂ©e de neutrons. Ce choix Ă©tait naturel car il conduit Ă une charge Ă©lectrique totale nulle pour la matiĂšre de l'Univers et il n'y a donc pas de violation de la loi de la conservation de la charge puisque qu'il n'y pas de crĂ©ation de charge y Ă©tait en expansion et une partie des neutrons se dĂ©sintĂ©graient par radioactivitĂ© bĂȘta en donnant des Ă©lectrons, des protons et des anti-neutrinos. Des rĂ©actions nuclĂ©aires se produisaient entre neutrons et protons pour donner les Ă©lĂ©ments chimiques et des photons sont Ă©videmment Ă©mis par les particules chargĂ©es produites. En effet, la tempĂ©rature du gaz de particules Ă©tait trĂšs Ă©levĂ©e et nous savons bien que lorsque de la matiĂšre est chauffĂ©e, elle se met Ă rayonner du fait de l'agitation des particules tard, lorsque la tempĂ©rature chutait en dessous de K, les protons et Ă©lectrons se recombinaient dans ce scĂ©nario et les photons d'alors subissaient les derniĂšres collisions, on parle de diffusions » dans le langage des physiciens, tandis que les atomes neutres les grandes lignes, ce scĂ©nario a Ă©tĂ© conservĂ© bien que l'on sache maintenant qu'il n'y avait pas un gaz de neutrons primordial mais un gaz de quarks et de leptons, et que seuls des Ă©lĂ©ments lĂ©gers, comme le deutĂ©rium, l'hĂ©lium et le lithium, ont eu suffisamment de temps pour ĂȘtre synthĂ©tisĂ©s. Surtout, les calculs qui conduisent Ă des abondances d'hydrogĂšne et d'hĂ©lium que les observations confirmeront, prĂ©disent, comme Ralph Alpher fut le premier Ă le comprendre, un rayonnement trĂšs particulier dont la tempĂ©rature actuelle est, elle aussi, calculable un rayonnement de corps noir Ă l'Ă©quilibre thermique Ă 2,725 rayonnement de corps noir ne se forme que dans des conditions bien particuliĂšres, certainement pas celles de la cosmologie stationnaire avec un Univers infiniment vieux et en expansion apparaissant comme identique pour tous les observateurs dans le temps et dans l'espace. Comme Cobe et WMap l'ont prouvĂ©, son extraordinaire isotropie, qui le fait apparaĂźtre comme identique dans toutes les directions de l'espace avec une prĂ©cision de 10-5, nous assure qu'il ne peut s'agir de la superposition de la lumiĂšre de diffĂ©rentes Ă©toiles et galaxies rĂ©parties sur le sphĂšre cĂ©leste. Il a nĂ©cessairement existĂ© une phase chaude et dense dans le passĂ© de l'Univers parle aujourd'hui de l'observation de ce rayonnement de corps noir, cela jette souvent le trouble. En effet, comment ce rayonnement de fond diffus, qui a Ă©tĂ© Ă©mis ans aprĂšs la naissance » de l'Univers observable, peut-il provenir de rĂ©gions dont on dit qu'elles Ă©taient, Ă ce moment-lĂ , Ă plus de 13 milliards d'annĂ©es-lumiĂšre ?Une sphĂšre de 90 miliards d'annĂ©es-lumiĂšre de diamĂštreIl faut comprendre que, si la vitesse de la lumiĂšre est effectivement la vitesse limite pour le dĂ©placement d'un corps matĂ©riel, des photons et des ondes gravitationnelles, rien ne s'oppose dans la thĂ©orie de la relativitĂ© Ă ce que l'espace lui-mĂȘme puisse se dilater de telle sorte que deux objets voient leur distance augmenter entre eux plus vite que la peut prendre l'analogie d'un ruban de caoutchouc sur lequel se dĂ©placent deux fourmis. Si la vitesse des fourmis est limitĂ©e, on peut les faire s'Ă©loigner l'une de l'autre plus rapidement en Ă©tirant le ans aprĂšs le Big Bang, le rayon de l'Univers que nous observons aujourd'hui Ă©tait donc dĂ©jĂ proche de 13,7 milliards d'annĂ©es-lumiĂšre. Les images des rĂ©gions ayant Ă©mis les photons fossiles captĂ©s aujourd'hui correspondent Ă la surface d'une sphĂšre dont le rayon est actuellement supĂ©rieur Ă 45 milliards d'annĂ©es-lumiĂšre !Le temps passant, et mĂȘme si l'on imaginait que l'Univers ne soit plus en expansion, le rayon de cette sphĂšre augmente car la lumiĂšre provenant de rĂ©gions de plus en plus lointaines nous parvient. Cette sphĂšre, centrĂ©e sur tout observateur prĂ©sent dans l'Univers, est ce que l'on appelle la surface de derniĂšre ne pouvons pas voir au-delĂ de cette surface avec de la lumiĂšre car cela correspond Ă un temps oĂč la matiĂšre Ă©tait trop dense pour ĂȘtre transparente. Une bonne analogie consiste Ă comparer la situation Ă celle d'un physicien solaire cherchant Ă regarder Ă l'intĂ©rieur du permet d'observer la surface de notre Ă©toile mais pas en dessous directement. Toutefois, de mĂȘme que la surface du Soleil vibre et ne prĂ©sente pas partout ni la mĂȘme tempĂ©rature ni la mĂȘme densitĂ©, la surface de derniĂšre diffusion correspond Ă des Ă©tats de la matiĂšre dans l'Univers dans des conditions de tempĂ©ratures, densitĂ©s et mouvements trĂšs lĂ©gĂšrement mĂȘme que l'astĂ©ro-sismologie nous nous renseigne sur l'intĂ©rieur d'une Ă©toile, les fluctuations de tempĂ©ratures et d'une autre caractĂ©ristique de la lumiĂšre, sa polarisation, sur la surface de derniĂšre diffusion, nous donnent des informations sur ce qui s'est passĂ© plus tĂŽt dans l'histoire du Cosmos parler de remonter de cette façon Ă des Ă©poques comme celle du temps de Planck, les fluctuations de tempĂ©ratures et de l'Ă©tat de polarisation de la lumiĂšre fossile sont une vĂ©ritable mine de renseignements sur les paramĂštres cosmologiques de l'Univers. Cela n'est pas difficile Ă comprendre. Un instrument de musique est aisĂ©ment reconnaissable grĂące aux sons qu'il produit. On peut ainsi connaĂźtre sa forme, sa taille et la matiĂšre dans laquelle il est peut bien sĂ»r jouer diffĂ©rent morceaux de musique sur un instrument mais, que cela soit le Requiemde Mozart ou Hell s Bells d'AC/DC, si l'on effectue une sorte de moyenne sur les frĂ©quences gĂ©nĂ©rĂ©es, il est possible de dire si le morceau a Ă©tĂ© jouĂ© sur un piano ou avec un pour agrandir. Une carte des fluctuations de tempĂ©ratures du CMB fournie par WMap. CrĂ©dit NASA-WMAP Science TeamLes cosmologistes dressent donc des cartes prĂ©cises des fluctuations de tempĂ©ratures du rayonnement de fond diffus, les dĂ©composent en diffĂ©rentes amplitudes selon la taille angulaire des fluctuations sur la sphĂšre cĂ©leste et effectuent une moyenne. Ils obtiennent alors une courbe, le spectre de puissance angulaire du CMB, qui ne dĂ©pend plus que des caractĂ©ristiques propres de l'instrument de musique sur lequel on joue un morceau, plus prĂ©cisĂ©ment ici un Univers donnĂ©, avec une taille, une courbure, un Ăąge et un contenu en matiĂšre noire et Ă©nergie noire bien pour agrandir. Une reprĂ©sentation de la fameuse courbe du spectre de puissance angulaire du CMB. C'est en quelques sorte une courbe de puissance moyenne du rayonnement donnant l'importance des fluctuations de tempĂ©ratures en fonction de la rĂ©solution en Ă©chelle angulaire. La taille et la position des oscillations dĂ©pendent du contenu, de l'Ăąge, de la taille de l'Univers et de bien d'autres paramĂštres cosmologiques encore. CrĂ©dit NASA-WMAP Science TeamUne mine de renseignements dans les anisotropiesLes anisotropies de tempĂ©ratures du rayonnement fossile ne sont pas les seules que l'on utilise pour tirer de l'information. Il y a aussi, on l'a mentionnĂ© prĂ©cĂ©demment, celles affectant la polarisation du se rappelle que la polarisation de la lumiĂšre correspond Ă l'orientation dans l'espace, par rapport Ă sa direction de propagation, du vecteur champ Ă©lectrique de la lumiĂšre. Lorsque cette direction est fixe, on parle de polarisation linĂ©aire et si elle dĂ©crit un cercle, on parle de polarisation circulaire. La lumiĂšre peut aussi ne pas ĂȘtre polarisĂ©e mais il existe dans la nature des phĂ©nomĂšnes capables de lui donner cette peut mesurer la polarisation de la lumiĂšre du CMB sur la sphĂšre cĂ©leste. Une carte peut ĂȘtre dressĂ©e et l'Ă©tat de la polarisation sur la surface de derniĂšre diffusion peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme pouvant ĂȘtre la somme de deux modes de polarisations, les modes dits E et ceux dits B. On peut faire l'Ă©quivalent du spectre de puissance angulaire du CMB pour ces modes et chercher aussi des corrĂ©lations entre les fluctuations de tempĂ©ratures et de dĂ©tection des modes B serait une preuve solide que l'Univers est bien passĂ© par une phase d'inflation. Cette phase est importante si l'on veut tenter d'expliquer certaines propriĂ©tĂ©s Ă©tranges de notre Univers observable, comme sa platitude, ou tout simplement l'existence mĂȘme des a permis d'obtenir des mesures prĂ©cises de la variance cosmique, de dĂ©tecter et mesurer les modes E et d'Ă©tudier les corrĂ©lations entre les fluctuations de tempĂ©ratures T et les modes rĂ©sultats dĂ©jĂ fournis sont impressionnants puisque l'on peut en tirer l'Ăąge de l'Univers observable avec une prĂ©cision remarquable, une estimation de sa courbure, de la date de la recombinaison et mĂȘme de la fin des Ages sombres. Plusieurs des prĂ©dictions de la thĂ©orie de l'inflation ont Ă©tĂ© confirmĂ©es et des arguments en faveur du modĂšle cosmologique de Jean-Pierre Luminet et ses collĂšgues ont Ă©tĂ© tableau ne doit cependant pas cacher la difficultĂ© de l'entreprise qui consiste Ă observer le rayonnement de fond diffus et Ă en tirer des effet, entre la surface de derniĂšre diffusion et nous, il y a de la matiĂšre et elle a Ă©voluĂ© au cours de temps. Les anisotropies du rayonnement fossile, qui sont primaires lorsqu'elles datent de la surface de derniĂšre diffusion, ont Ă©tĂ© contaminĂ©es par des anisotropies secondaires qui sont soit du bruit Ă soustraire, soit des informations sur l'Ă©volution de la matiĂšre et des amas de existe aussi des avant-plans, par exemple causĂ©s par la poussiĂšre galactique ou le rayonnement synchrotron, qu'il est important de soustraire pour remonter aux observations proprement les anisotropies secondaires, il y a en particulier les effets de lentilles gravitationnelles qui, tout en gĂ©nĂ©rant des modes B qu'il faudrait soustraire au signal enregistrĂ© par Planck pour espĂ©rer prouver la thĂ©orie de l'inflation, sont des sources d'informations sur l'Ă©volution des grandes structures de l' pour en apprendre un peu plus sur la mission Planck et ce qu'elle est en mesure d'apporter comme progrĂšs par rapport Ă Cobe et surtout WMap que Futura-Sciences a demandĂ© Ă Laurence Perotto de nous Ă©clairer dans un article qui va trĂšs prochainement faire suite Ă tant que chercheuse au CNRS, elle a rejoint, en octobre 2008, le groupe Planck du Laboratoire de Physique Subatomique et de Cosmologie de Grenoble. Son travail porte justement sur les distorsions du rayonnement fossile par effet de lentilles gravitationnelles ainsi que sur les contraintes des masses des neutrinos qui peuvent ĂȘtre obtenues Ă l'aide de par ce que vous venez de lire ? Deux fourmis se dĂ©placent Ă la mĂȘme vitesse sur les faces d'un cube de O Ă I. L'une des fourmis suit le trajet en rouge, l'autre le trajet vert. Laquelle mettra le moins de temps ? Sachant qu'elles ont la mĂȘme vitesse la fourmi la plus rapide sera celle qui aura le chemin le plus court. A toi de calculer la longueur des diffĂ©rents chemins