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Charlie et la chocolaterie Charlie et la chocolaterie 11/01/2020 Commentaires 0 Commentaire Bonjour à tous chers petits explorateurs ! J’espère que ces vacances automnales ce sont bien passées pour vous. Pour cette seconde période nous étudierons le roman Charlie et la chocolaterie de Roald Dahl. Pour tous ceux qui rencontreraient des difficultés de lecture mais aussi pour ceux qui souhaiteraient écouter la version audio de notre livre après l’avoir lu, voici les premiers chapitres. Chapitre 1 Voici Charlie Chapitre 2 La chocolaterie de Mr.
16mars 2019 - Explorez le tableau « École littérature » de FastocheLaPoloche, auquel 180 203 utilisateurs de Pinterest sont abonnés. Voir plus d'idées sur le thème litterature, charlie et la chocolaterie, ecole. Information Cette séquence n'est pas publiée. Seule l'auteur y a accès. Rédigéede manière claire et accessible, la fiche de lecture propose d'abord un résumé intégral du roman, puis s'intéresse aux personnages de Charlie Bucket, de Willy Wonka, d'Augustus Gloop, de Veruca Salt, de Violette Beauregard et de Mike Teavee. Après les schémas actanciel et narratif, on aborde les traits majeurs de la littérature pour la jeunesse. Une analyse littéraire

Commentaires transférés 1/ myriam-mims Jeudi 2 Janvier 2014 à 1807 ce qu’il y a de bien avec le fait d’être en retard sur son programme c’est qu’on trouve tout tout fait… ^^ merci pour ce partage, je m’en inspirerai… quand j’y arriverai ! 2/ lilibel19 Jeudi 2 Janvier 2014 à 1843 Super comme d’habitude ! Par contre je suis beaucoup plus succinte dans ma carte mentale. Je n’y ai pas mis de noms de rois… En tout cas un grand merci pour ces trames de leçons, je m’en sers et je crois que les élèves apprécient ces traces. Je viens juste d’en faire une sur l’Islam… 3/ PurpleRain31 Samedi 15 Février 2014 à 1944 Merci pour ces deux nouvelles fiches, Lala! 4/ Lala78 Mercredi 5 Mars 2014 à 2128 Avec plaisir PurpleRain31 5/ classeurdecole Mardi 11 Mars 2014 à 1611 Sommaire mis à jour chez moi !!

Extraitde Charlie et la chocolaterie. Retour aux fiches pédagogiques. - Très importante, cette salle ! cria Mr Wonka. Il sortit de sa poche un trousseau de clefs et en glissa une dans la serrure de la porte. - Ceci est le centre nerveux de toute l'usine, le cœur même de l'affaire ! Et comme elle est belle ! Charlie et la Chocolaterie » et autres films le cinéma de Tim Burton L'illusion des grands universaux et la vivacité des clichés n'en finissent plus d'occuper l'espace commun. Les images policières, celles qui excluent l'altérité à coup de clichés et de préjugés au profit d'une vision ordonnée du monde, ne semblent plus avoir de limites dans leur pouvoir d'expansion. De nombreux cinéastes, sensés les combattre, travaillent pourtant avec ce matériau pauvre sans jamais le remettre véritablement en question, comme si c'était devenu le seul moyen possible pour parler du monde, le montrer, le penser. Un cinéaste comme Tim Burton, jadis maître de la fantaisie macabre, semble désormais se trouver lui aussi du côté de la police, de ceux qui dictent une morale presque totalitaire au détriment des multiples formes possibles de différences et d'altérités. Pire encore c'est par et dans l'imaginaire que Tim Burton déploie sa vision du monde unilatérale, faussement marginale et, osons les mots, traversée par des relents fascistoïdes douteux. L'imaginaire est censé combattre le partage du sensible policier, et non le servir. Il doit en redéfinir le mode d'être, la place de chacun et la circulation des idées, des images et des discours. Il doit réinventer les données d'une société de masse devenue violemment sectaire et presque incapable de produire des images remettant en question les fondements de sa propre visibilité. Tim Burton commet peut-être le plus grand crime il ouvre les portes de son imaginaire à la police. Par là, il lui confère une nouvelle légitimité et un nouveau terrain de jeux où elle peut exercer, à travers ses films, son pouvoir sectaire de réduction de l'altérité aux clichés. Burton était une icône de la contre-culture des années 90. Aujourd'hui, il semble ne plus être qu'une marionnette corrompue de l'ordre policier du monde et de ses images. Ses derniers films en date montrent de lui un tout autre visage, comme s'il avait toujours voulu être du côté des gens qui se moquent et non de ceux qui affirment leurs différences. Son imaginaire semble vouloir ouvrir une voie vers un salut dont il serait le gardien, comme s'il détenait les clés d'un mode de vie parfait. Croire en l'imaginaire n'a jamais été aussi réducteur et signe de conformisme. Depuis quelques films, les modes de pensées policiers semblent avoir avalé tout cru le cinéma de Tim Burton. Séparer, exclure, moraliser, punir pour faire partie de son monde, il faut croire en l'imaginaire. Et si par malheur ce n'est pas le cas, vous faites alors partie des gens à blâmer. Vous n'êtes ainsi pas différents des enfants que la grande machinerie de la chocolaterie animée par Willy Wonka avale et rejette comme de vulgaires déchets. Métaphore glaçante du lien qui unit Burton à l'altérité, Charlie et la chocolaterie livre le secret de l'accès à l'imaginaire burtonien. Il faut mériter son ticket d'or en montrant sa capacité à conserver son âme d'enfant et à s'émerveiller devant la fantaisie. Seul Charlie Freddie Highmore se révèle à la hauteur, tandis que les autres enfants, tous pourris gâtés ou matérialistes, sont éliminés un par un. Burton a en plus la maladresse de faire glisser la question sur le terrain de la sociologie. Charlie est le brave petit enfant défavorisé peinant à s'acheter une barre de chocolat et rêvant d'un monde meilleur, il est donc, selon Burton, le plus susceptible de croire en l'imaginaire. Les autres enfants sont riches ou stupides. Chacun d'entre eux représente un cliché précis. Il y a Mike, qui passe ses journées devant la télévision évidemment, le cliché par excellence de l'antithèse de l'imaginaire ; Veruca, la pourrie gâtée dont les parents achètent le ticket à prix d'or ; Augustus, le garçon en surpoids obsédé par la nourriture ; et enfin Violette, la petite fille blasée et stoïque qui ne fait que ruminer son chewing gum. Pourquoi ces quatre enfants seraient-ils moins aptes que Charlie à développer un imaginaire ? Et pourquoi les punir en les faisant disparaître un à un du film ? Charlie et la chocolaterie érige l'imaginaire burtonien en nouvelle norme policière. Celui-ci fonctionne selon les mêmes modalités qu'un partage du sensible policier, c'est-à-dire en excluant des formes d'altérités présentées comme des clichés, et en leur définissant des places bien précises que l'imaginaire ne viendra pas chambouler. Il n'y a strictement rien à voir dans ce film seulement une imagination qui déploie toute l'arrogance de son univers au mépris de ce qui lui est autre. On retrouve le même principe de ségrégation dans le récent Miss Peregrine's Home for Peculiar Children. Jacob Asa Butterfield, énième doublure du cinéaste, est un adolescent ayant fraîchement quitté l'enfance. Il peine à trouver sa place dans la société. Au grand dam de ses parents et de sa psychiatre, il continue à croire en l'existence d'un orphelinat mystérieux dans lequel son grand-père aurait vécu enfant. A la mort de celui-ici, il décide de se mettre à la recherche de ce lieu magique où résiderait encore une bande d'enfants aux pouvoirs extraordinaires. Accompagné de son père mi-beauf, mi-idiot, Jacob se rend en Irlande et parvient à retrouver l'orphelinat niché à l'abri de l'Histoire dans une faille temporelle. Tim Burton met ensuite en place l'échiquier de son imaginaire au cas où nous n'aurions pas encore compris les règles. Jacob détiendrait en effet le clés d'un univers incroyable incomparable avec la morosité de la vie actuelle dans les sociétés industrielles. Cette dernière trouve son expression dans le seul personnage du père, idiot, matérialiste, incrédule, bref tout ce que Burton déteste et se représente comme l'Ennemi de son imaginaire fertile. Mais c'est surtout dans la rencontre entre Jacob et les adolescents anglais que transparaît le mieux la fracture qui existe aujourd'hui entre le cinéaste et le monde. Déphasé, le père de Jacob lui demande de se faire des amis sur l'île. Il le force à fréquenter une bande de jeunes qui traîne dans le village. Le cliché, ici, est d'une rare indigence. Le contact entre les ados ne passent évidemment pas. Comment quelqu'un d'aussi complexe que Jabob et, surtout, doté d'un véritable imaginaire, pourrait s'entendre avec des campagnards un brin demeurés ? Sur le chemin de l'orphelinat, les deux ados anglais se présentent comme des rappeurs et chantent une de leur composition à Jacob. Ce dernier écarquille évidemment les yeux à l'écoute des rimes des deux gangstas » en herbe rebaptisés chacun par un nom inspiré de rappeurs américains. On voit ici tout le mépris de Burton pour des formes d'altérités différentes de la sienne. Difficile d'imaginer qu'on puisse encore véhiculer des clichés aussi ridicules sur le rap. Il n'y a au fond rien d'étonnant, puisque son imaginaire est devenu une norme policière qui exclut et brime gentiment dans les apparences ce qui ne lui correspond pas. L'Imaginaire, avec un grand I, n'est pas la propriété exclusive de Tim Burton, et n'existe évidemment pas, puisqu'il y a autant d'imaginaires qu'il n'y a d'êtres humains. Il ne semble pas le comprendre, ou du moins il donne l'impression de se réfugier dans la posture du grand artiste qui lutte contre les dérives des sociétés capitalistes ». Sauf que nous voyons bien ici que cela ne tient pas, et que cette posture relève plus d'un forme de terreur policière que d'une invitation à penser autrement le visible. Tim Burton inverse la logique de Charlie et la chocolaterie. Il n'est plus du côté des désœuvrés et quand bien même, l'a-t-il vraiment jamais été ? mais de la petite bourgeoisie qui méprise ouvertement ce qu'elle ne comprend pas, en l’occurrence, ici et parmi d'autres exemples, le rap et la campagne profonde. Jacob n'est au fond qu'un ado bourgeois en quête d'une vie sage et rangée bien confortablement auprès de son grand amour. Il veut pouvoir partager les mêmes rêves que n'importe qui, surtout si au bout du compte la jolie petite blonde tombe dans ses bras. Jacob n'est pas un Freak, ou une espèce d'adolescent qui n'existe plus, ou même un garçon exceptionnellement rare par la vivacité de son imagination, qui s'avère finalement assez limitée. Le même constat s'impose au sujet des freaks qui habitent l'orphelinat. Réduits au statut d'enfants-sandwich, ils ne sont là que pour garantir le cachet de l'imaginaire burtonien en suscitant l'admiration béate des fans devant un esprit créateur aussi foisonnant ! Ils n'ont pour fonction que de meubler les images par une pseudo-fantaisie. Burton semble pourtant loucher du côté du Freaks de Tod Browning. Les freaks », liés entre eux autour d'un destin commun, s'unissent pour se débarrasser de l'oppression qu'ils subissent et, dans le même mouvement, ils affirment leur différence autant qu'un esprit, un mode de vie révolu et filmé par Browning dans son altérité la plus puissante. Burton semble vouloir marcher sur les mêmes plates-bandes que Browning, mais il rend absolument stérile tout ce qui faisait la beauté et la complexité de Freaks. Il veut nous faire croire à l'altérité d'une bande d'enfants-sandwich sortis de la droiture de son imaginaire, tandis que Browning a été recueillir ses freaks » dans le monde avec une extrême délicatesse, pour ensuite leur offrir son film comme offre un nouveau toit. Ce n'est pas qu'une question d'imaginaire et de réalité. Et quand bien même Burton invente ses personnages de toutes pièces, il ne fait aucun effort pour aller à leur rencontre. Chez lui, il n'y a plus de rencontres, seulement une succession d’artefacts, de pantins momifiés, tel un publicitaire qui déploie son attirail commercial rejouant sans cesse le même spectacle triste avec des créatures sans existences. Tim Burton n'est plus qu'un fossoyeur de freaks. Un marionnettiste devenu incapable d'insuffler un esprit à ses créations. Allié de l'ordre policier du monde, il ne lui livre plus que des êtres à son image. Tim Burton ne réanime plus l'esprit carnavalesque d’antan. L'écart infranchissable entre Miss Peregrine's Home for Peculiar Children et Freaks en est un bon exemple. Le plus étonnant reste encore le renversement que le cinéaste opère entre la normalité et la monstruosité. Pacôme Thiellement montre bien comment le statut du freak » a évolué jusqu'à aujourd’hui1, passant d'une forme d'altérité à part entière à une monstruosité indésirable du rationalisme scientifique. On connaît également les tristes cas de l'Histoire où l'art dit dégénéré » fût traqué, interdit ou détruit au nom d'une dictature de la pensée et du goût. N'est-il pas alors étonnant de voir un cinéaste comme Tim Burton, qui fût capable de produire des œuvres dégénérées », se réapproprier ce thème pour le ré-agencer sous la bannière du bon goût et de la norme ? Car, chez lui, la dégénérescence fut lentement broyée pour ressortir sous l'apparence d'un canon esthétique qui circonscrit et, surtout, exclut. Burton rejette tout ce qui ne correspond pas à ce canon fixé par son imaginaire tout en ne se privant pas de liquider Charlie et la chocolaterie ou d'humilier Miss Peregrine's Home for Peculiar Children ceux ou celles qui n'entrent pas dans le moule de son imaginaire. Il y a donc chez Tim Burton quelque chose qui s'apparente à une forme de fascisme prenant paradoxalement sa source dans la dégénérescence. Les données de l'équation sont inversées et travesties. Le monstrueux s'est progressivement poli pour devenir un canon esthétique. Depuis certainement Sleepy Hollow, la monstruosité burtonienne s'est retrouvée lissée et canalisée pour ne plus exister que comme un artefact qui fait croire à une pseudo-dégénérescence. Or, Burton, devenu un policier de l'imaginaire fossoyeur de freaks, en est arrivé par là à vider son cinéma autant que son imaginaire de toute sa subversion dégénérescente. Le poète macabre, qui croit encore à sa propre dégénérescence et la considère comme un refuge, traque désormais les autres formes d'art et de vie au nom des vertus de son imaginaire, chose qui historiquement était plutôt réservée à ce qu'on appelle le fascisme. À titre de comparaison, et à des échelles différentes, il est intéressant de voir comment trois cinéastes de la même génération que Burton, Jim Jarmusch, Kiyoshi Kurosawa et Aki Kaurismaki, ont récemment opté pour des choix diamétralement opposés. Leurs derniers films respectifs témoignent chacun à leur manière d'une ouverture complexe à l'altérité et à tout ce qui, a priori, n'aurait pas pu entrer dans le moule de leur cinéma. Pourtant, autant Jarmusch, Kaurismaki que Kurosawa ont, à l'instar Burton, un univers propre reposant sur une économie précise qu'on imagine difficile à chambouler. Dans Paterson, Jarmusch se met à genoux devant un monde auquel il n'appartient pas pour le filmer avec un mélange de fascination et de curiosité, le monde pratique du quotidien où les hommes interagissent entre eux autour de ce qui rythme leurs vies deux amis parlent de séduction, deux étudiant discutent de l'idée de révolution en art, etc. Il y a ensuite les rencontres improvisées entre Paterson et une petite fille apprentie poète ou avec un rappeur dans un lavoir de la ville. Et, évidemment, la fascination pour Laura, à la fois muse et femme imprévisible dont Paterson ne parvient pas à partager le monde. Jamais Jarmusch n'avait laissé entrer dans son cinéma autant de formes d'altérités différentes sans les recadrer systématiquement pour qu'elles puissent se conformer aux codes de son univers. Kaurismaki, pour sa part, a traité de l'épineuse question de l’immigration dans Le Havre et L'autre côté de l'espoir. S'il peut céder par moments à un certain académisme scolaire de la dénonciation qui ne lui ressemble pas, il réussit néanmoins à intégrer dans son cinéma des personnages et des causes qu'il aurait très bien pu laisser de côté. On peut voir à quel point son cinéma est grand et complexe quand celui-ci, arrivé au bout de son parcours le cinéaste a annoncé que ce serait son dernier film, se sacrifie pour une cause, s'abandonne à ce qui lui est autre comme l'ultime don d'un artiste et d'une œuvre. Kaurismaki travaille ici avec les problèmes et les images de l'ordre policier, mais plutôt que de créer un énième discours policéier, attendu, il offre son cinéma aux sans-parts en termes ranciériens, c'est-à-dire ceux que l'ordre policier assigne au silence et à une place convenue. Dans Le Secret de la chambre noire, Kurosawa se fond dans un monde qui n'est pas le sien avec une humilité désarmante. Il filme les rues de petites villes françaises sans se prendre de haut. Dans une scène qui ne sert en rien la trame narrative du film, il suit Tahar Rahim rejoignant des amis dans un café pour regarder un match de football. On imaginait mal un cinéaste comme lui se frotter à ce genre d'univers, ou à filmer les rues en travaux, les cafés typiquement français, le jardin des plantes et le musée d'histoire naturelle. Jarmusch, Kaurismaki, Kurosawa toutes les trois descendent encore dans le monde comme on descend d'une tour d'ivoire, pour le rencontrer, se remettre en question, se réinventer ou simplement pour y offrir leur cinéma en cadeau. Que peut encore nous raconter Tim Burton ? Son imaginaire semble malade et montre tous les signes d'un combat perdu contre l'uniformité au point qu'il en est venu à servir indirectement sa cause. Tout indique maintenant que c'est lui qui donne les leçons. Il donne l'impression de cracher sa morale réactionnaire à l'écran comme une revanche amère. Ce qui fût autrefois un imaginaire de résistance devient aujourd'hui une norme à laquelle tout être humain sain d'esprit devrait aspirer, sous peine de rester du côté des losers et des nouveaux freaks, les beaufs, les rappeurs, les campagnards, bref tous ceux qui n'auraient pas la bonne imagination. Son imaginaire a abandonné le monde fantasmagorique où il puisait sa singularité pour se mettre au service d'un monde d'artefacts botoxés. Repensons encore à la gigantesque enseigne McDonald's qui accueillait au réveil Barnabas Collins Johnny Depp dans Dark Shadows. L’œuvre de Tim Burton semble être arrivée à un stade où ce qu'elle taisait poliment derrière la magie baroque et morbide de ses frasques devient un moyen de se protéger du monde et de poser une forme d'élitisme. Tim Burton a toujours détesté la normalité. Comme le suggère ses films, il est probablement dégoûté par le quotidien de Monsieur Tout le monde ». Qu'est-ce que ces gens-là auraient bien à raconter ? Comment pourrait-il y avoir de la poésie dans la vie la plus banale, la plus minime, la plus coupée qui soit des racines de l'imaginaire enfantin et baroque fasciné par les histoires et les croyances ? L’œuvre Tim Burton était-elle prédestinée à être avalée par le système ? Pour poursuivre la lecture autour de Tim Burton Guillaume Richard, Edward aux mains d'argent La Revanche Policière de Tim Burton », Le Rayon Vert, 20 mars 2019. Guillaume Richard, Dumbo de Tim Burton L’Éléphant qui réenchante les Regards », Le Rayon Vert, 7 avril 2019. DécryptezCharlie et la Chocolaterie de Roald Dahl avec l’analyse du Que faut-il retenir de Charlie et la Chocolaterie, le roman phare de la littérature pour la jeunesse ? Retrouvez tout ce que vous devez savoir sur cette œuvre dans une analyse complète et détaillée. Vous trouverez notamment dans cette fiche :
FICHE DE LECTURE CHARLIE ET LA CHOCOLATERIE. Roald FICHE DE LECTURE CHARLIE ET LA CHOCOLATERIE. Roald Dahl Charlie et la Chocolaterie titre original Charlie and the Chocolate Factory est un roman pour enfants de l'auteur norvégo-gallois Roald Dahl. Charlie et la chocolaterie a été publié pour la première fois aux États-Unis par Alfred A. Knopf en 1964, et au Royaume-Uni par Allen & Unwin en 1967. Le livre a été adapté en deux films importants Charlie et la Chocolaterie Willy Wonka & the Chocolate Factory de Mel Stuart avec Gene Wilder en 1971, et Charlie et la Chocolaterie de Tim Burton avec Johnny Depp en 2005. La suite de l'histoire, Charlie et le Grand Ascenseur de verre, a été écrite par Roald Dahl en 1972. Charlie Bucket vit pauvrement dans une toute petite maison avec ses parents et ses quatre grands-parents cloués au lit, dont grand-papa Joe qui va l'accompagner à la chocolaterie. Charlie est un enfant gentil, attentionné et soigneux qui aime sa famille malgré leurs difficultés communes. Hors sa famille, la chose qu'il aime le plus est le chocolat. À cause de sa pauvreté extrême, il ne peut toutefois recevoir qu'une tablette de chocolat par an, à l'occasion de son anniversaire. Il y a près de sa maison la plus grosse chocolaterie du monde, dont le possesseur est Willy Wonka. Willy Wonka est le plus important, le plus créatif et le plus inventif raffineur de chocolat au monde, produisant une importante variété de sucreries merveilleuses et délicieuses. Comme raconté par Joe Bucket, l'espionnage industriel ayant pratiquement ruiné la fabrique, Willy Wonka l'a complètement fermée, puis rouverte ultérieurement avec l'aide d'ouvriers inconnus et mystérieux. Après avoir passé plusieurs années en fonctionnant de la sorte, Willy Wonka, à la surprise de tous, aurait décidé d'autoriser la visite de sa chocolaterie par le public, en organisant une loterie. Cinq tablettes de chocolat Wonka » contenant des tickets d'or cachés sous l'emballage sont dispersées dans le monde. Chaque ticket autorisera le gagnant et un seul membre de sa famille dans le film, sinon maximum 2 membres dans le livre à accéder à la chocolaterie pour une visite guidée par le chocolatier en personne. Une frénésie d'achat de chocolat secoue alors le globe. Les gagnants des quatre premiers tickets s'avèrent être Augustus Gloop, un gros garçon glouton Veruca Salt, une enfant gâtée par ses parents Violette Beauregard, une petite fille ayant une obsession continuelle pour la gomme-mâchée Mike Teavee, un garçon passionné de télévision Parallèlement, la pauvreté qui enserre la famille de Charlie se ressent davantage. Charlie parvient à trouver le dernier ticket d'or. Grand-Papa Joe se lève alors de son lit, et tous deux partent pour la chocolaterie de Willy Wonka où les autres gagnants les rejoignent. Ils y découvriront ses merveilleuses réalisations, y compris certains prototypes aux effets secondaires à dormir debout. Par ailleurs, Willy Wonka révèle à ses invités que les mystérieux ouvriers sont des Oompas- Loompas, un peuple pygmée venu de l’ Oompaland qui a accepté de venir travailler dans sa fabrique, car il peut leur fournir des quantités illimitées de leur mets préféré, la graine de cacao ingrédient principal du chocolat. Au cours du livre, ils se lancent régulièrement et massivement dans des couplets en vers improvisés pour commenter la conduite des autres enfants et les conséquences de leurs actes. Tout au long de la visite de la chocolaterie Willy Wonka à des "flash back" relatif à son enfance. On retrouve le thème des "objets" et de "je me souviens" Les objets le ticket d'or et la tablette de chocolat pour les enfants ainsi que pour chaque enfant Augustus Gloop la nourriture Veruca Salt n'importe quel objet qu'elle souhaite Violette Beauregard les chewing gum et ses trophées Mike Teavee la télévision et les jeux vidéo Charlie Bucket la tablette de chocolat qu'il re çoit chaque année à son anniversaire et le ticket d'or Les Oompa Loompas, les fèves de cacao Willy Wonka, lors des "flash back" les bonbons et chocolats qui lui étaient interdit par son père dentiste c'est ce qui l'a conduit à ouvrir la chocolaterie. Le thème je me souviens est abordé lors des "flash back" de Willy Wonka et lorsque les Oompas Loompas chantent car ils rappellent le comportement des enfants.

Transcription. Charlei et la chocolaterie

Temps de lecture estimé à 12 minutes Et si nous parlions de Charlie et la Chocolaterie en tant que film de Noël ? Quoique nous sommes le 26 Décembre, nous sommes toujours en période de fête. Ce sont toujours — plus ou moins — les mêmes films aux mêmes bons sentiments qui passent à la télévision. J’aurais pu parler de l’Étrange Noël de Monsieur Jack, puisqu’il s’agit d’un classique du genre, mais aussi de Tim Burton…J’aurais pu, il est vrai. Au lieu de cela, j’ai préféré décortiquer la version de Charlie et la Chocolaterie datant de 2005. J’en gardais un bon souvenir, et c’est quelque peu étrange de le revoir, quinze ans après ; imaginez, vous fermez les yeux, et plus d’une décennie est passée. Si je n’ai pas lu le roman, ni vu le film de 1971, cela ne saurait tarder. Bref commençons ! Charlie Buckett est un petit garçon pauvre, dont le seul cadeau d’anniversaire est une tablette de chocolat estampillé Willy Wonka, un confiseur de renom et de génie. Celui-ci décide de cacher cinq tickets d’or dans ses tablettes. Les heureux possesseurs auront la chance de visiter sa chocolaterie. Évidemment, Charlie trouvera le ticket d’or. Il sera emmené dans une aventure un peu grinçante, en compagnie des autres enfants. Voilà, c’est tout. Charlie et la Chocolaterie, un conte de Noël si classique ? On comprend vite que parmi les cinq enfants, Charlie est le plus méritant ; contrairement aux autres, il est pauvre, maigre, et désintéressé. Si chaque enfant correspond à un malaise social les mini-miss avec Violette, la surconsommation avec dresse le tableau de l’enfant encore pur et innocent qui n’abandonne pas ses rêves. Il représente un esprit très chrétien, avec les valeurs familiales l’entourant, très opposé aux défauts des quatre autres. Je dois avouer que quand j’ai regardé avec quinze ans de plus, ce Charlie et la Chocolatrie, j’ai quelquefois grincé des dents. Alors je sais que Roal Dalh n’était pas un auteur tout jeune. Voir Teavee et ses accès de colère, la parfaite illustration des clichés des boomers sur les jeux vidéo. Ou encore Augustus qui est clairement victime de bon, c’est un conte de Noël, et l’oeuvre n’est pas foncièrement mauvaise. Et ce que l’oeuvre critique surtout c’est le capitalisme. Avec ses usines, qui déshumanisent peu à peu le travail des artisans. Charlie et la Chocolaterie, une usine à critiques sociales Le ton se veut grinçant sur pas mal d’aspects. Comme le fait que Willy Wonka, tout en habit de colon, explore la jungle et découvre un peuple de sauvage » qu’il paye en fève de cacao pour leur labeur au sein de son usine. Ou encore le regard exotique que porte les Anglais pour les peuples orientaux — le passage avec le palais en chocolat le témoigne par exemple —, oublier le petit mépris de classe dans le court échange entre le père de Verruca et de Teavee. Le premier fait mine de ne pas comprendre l’américain », alors que les différences entre l’anglais britannique et l’anglais américain sont légères. Mais voilà, le père de Verruca est richissime, se sert de son usine de cacahuète pour trouver le ticket d’or… Chaque enfant et son parent est une réponse à Charlie et son grand-père. Si Violette est compétitive et méchante, allant jusqu’à voler la pomme dans le pseudo jardin d’Eden recrée par Willy Wonka, Charlie ne voit pas l’intérêt d’écraser les autres pour être le Verruca est une enfant pourrie gâtée voulant collectionner les animaux, Charlie offre volontiers sa tablette de chocolat de son anniversaire à toute sa famille. Si Augustus est gros et mange sans réfléchir, Charlie n’est pas fort nourri. Enfin, si Teavee a des angers issues, et possède un esprit pragmatique, Charlie est un doux rêveur. Le rapport avec les enfants dans Charlie et la Chocolaterie De plus, les enfants incarnent chacun un péché capital, comme l’a très bien démontré Doremi Pop Culture dans sa vidéo. Enfin, les mésaventures des enfants ont un rapport directement lié avec leurs qui se fait aspirer par le tuyau, ou Verruca et son père qui finit recouvert de déchet à la fin. Ironique au vu de leur statut social. Quant à Violette, dont le corps devient extra-souple suite à sa mésaventure, j’ai toujours trouvé la réponse de sa mère assez froide. Comment vas-tu concourir comme ça ?Ce duo dénonce — à mon sens — les Mini Miss qu’on voit aux USA. Ou les concours de talent organisés pour les enfants. Si Violtte voit sa souplesse comme une nouvelle façon de réussir et s’en réjouit, ce n’est pas le cas de sa mère. Willy Wonka et Teavee deux génies qui se confrontent De même que j’avais oublié les rapports qu’entretiennent Willy Wonka et Teavee. Je pense que les deux se ressemblent davantage qu’ils ne le montrent. Après tout, Teavee est un enfant plus malin que les autres, mais cette intelligence a un coût. Il ne croit en rien. Si Willy Wonka est un créatif dans son domaine, son génie est aussi ce qui l’isole. De plus, leurs interactions sont une suite de dialogue de sourds. Willy Wonka prétexte ne pas pouvoir entendre Teavee parce qu’il marmonne ». Tout au long du film, l’on se rend compte — aussi — que Willy Wonka n’est pas plus à l’aise que lui avec les relations sociales. Ils ont une morale douteuse Teavee n’hésite pas à pirater la chocolaterie pour trouver le ticket d’or, tandis que Willy Wonka plaisante sur le cannibalisme et rappelle que cela est mal vu ».Leurs esprits visionnaires se relient à leur cynisme, comme s’ils ne pouvaient pas exister sans malfaisance ». À côté de cela, Charlie se caractérise essentiellement par sa bonté, sa douceur, et sa gentillesse. Mais aussi par sa capacité empathique. Après tout, il est celui qui provoque les flash back de Willy Wonka en posant les bonnes questions ». Charlie et la Chocolaterie un protagoniste à la morale douteuse Nous avons planté quelques éléments du décor de Charlie et la Chocolatrie. Maintenant, on va s’intéresser à la pierre angulaire du film, à savoir Willy Wonka. C’est un personnage dont l’alignement pourrait être loyal mauvais. Dans le sens où il a parfaitement conscience des règles, mais il y porte un regard critique, sans hésiter à les détourner si cela le construction morale du personnage est étroitement liée à son rapport à l’enfance, et dénonce qu’une éducation trop stricte peut amener une rupture entre un petit garçon et son père. Celui-ci est évidemment dentiste — ce qui fait un rappel au travail qu’effectue le père de Charlie, à savoir bouchonner des tubes de dentifrice à la main. Il a empêché le petit Willy de manger des chocolats et des bonbons, car cela pouvait lui donner des y a un passage qui m’a assez marqué plus jeune, c’est lorsque Willy Wonka et son énorme appareil sur la tête, observe son père faire l’état des lieux de la chasse aux bonbons ramassés pendant Halloween. Willy Wonka n'aime pas les enfants ? Son père émet l’idée que Willy pourrait être allergique au chocolat, et le petit garçon lui dit qu’ils n’en sont pas si sûrs. Pour ne pas prendre le risque, le père de Willy brûle les bonbons ; c’est littéralement vaut mieux prévenir que guérir », et en faisant cela, il prive aussi son fils de ses propres expériences. Sans le savoir, cet évènement déclenche leur future rupture, puisque Willy trouvera un chocolat dans la devine en peu de temps que le père de Willy est extrêmement dur, et son fils trop obéissant. Au final, cela explique le comportement de Willy Wonka avec les le sens où ils semblent le mettre mal à l’aise, et qu’il ne sait pas comment réagir face à l’affection — il n’y a qu’à voir sa réaction lorsque Verruca lui fait un câlin. Son rapport est si conflictuel qu’il veut faire en sorte que Charlie quitte sa famille pour devenir son héritier. De même qu’il ne réfléchit qu’à sa propre parentalité lorsqu’il constate son cheveu c’est même un acte purement intéressé, dans le sens où il se fiche d’avoir un enfant. Il veut simplement s’assurer que la chocolaterie et les oompas-loompas pourront continuer à vivre décemment — et à travailler pour lui. La figure paternelle dans Charlie et la Chocolaterie L’ironie tient au fait que Willy Wonka est faiseur de rêve pour beaucoup d’enfants, mais qu’il n’a aucune idée de comment faire avec eux. Il les croit d’ailleurs tous pourris, c’est ce qu’il dit à Charlie quand celui-ci gagne ; il voulait choisir le moins pire. Évidemment, Charlie étant ce qu’il est, il pousse Willy Wonka à renouer avec son père. D’ailleurs, Willy est une figure parentale ambiguë pour chaque enfant du groupe. Il est celui qui va poser les limites, mais aussi les laisser faire leurs propres le démontre la scène où Violette mange le chewing-gum permettant d’être un diner à lui seul — il n’intervient pas vraiment, sans doute par curiosité de voir jusqu’où l’expérience va le mener. Ou encore quand Augustus tombe dans la rivière de chocolat. Quant à Verruca, il est le premier adulte à lui refuser quelque chose — la vente des pour Teavee, il refuse de faire de son téléporteur quelque chose de plus » — là encore, leurs génies respectifs s’affrontent. Enfin, pour Charlie, il est une mise à l’épreuve réaliser son rêve en renonçant à ce qu’il a de plus précieux. Charlie et la Chocolaterie Willy Wonka, un personnage queer ? Bon. Maintenant que nous avons établi rapidement la psychologie de Willy Wonka, voyons en quoi ce personnage est queer-coded. Si vous ne savez pas ce que c’est, je vous renvoie à l’article que j’ai écrit sur le sujet. Mais en résumé, Willy Wonka a une écriture — dans le film de Tim Burton du moins — supposant une certaine sexualité. Il est maniéré, créatif, mais aussi original. Il prend soin de son apparence, et s’il devait correspondre à un cliché du queer-coding, il serait l’artiste. Il a les idées de grandeurs liées à cela, du génie, mais aussi une capacité à penser en dehors des si son attitude corporelle porte à croire qu’il puisse être ce cliché de l’homosexuel artiste et génie, il ne l’est pas. Oh… certes, on le voit gêné lorsque la mère de Violette lui fait des avances. Mais tout indique — en vérité — que Willy Wonka — dans la version de Tim Burton — est ace, voir aromantique. Willy Wonka ne semble pas s’intéresser aux gens, de manière s’il apprécie Charlies, c’est parce que celui-ci dessert un intérêt — reprendre la chocolaterie. Il est seul, et ne semble pas spécialement malheureux de cette solitude ; au contraire, c’est un ermite, quelque peu original, vivant dans son monde. Aucun intérêt pour le sexe, ou pour les relations humaines. Malgré l’imagerie BDSM empruntée par la vache qui se fait fouetter — ou peut-être n’y voit-il aucun mal puisqu’il ne voit pas ça » ainsi. Ce décalage chez les autres explique évidemment son génie, et sert souvent à Tim Burton. Et si Willy Wonka était aromantique et asexuel ? Celui-ci aime les personnages décalés socialement, mais il est rare lorsqu’il ne développe pas de relations amoureuses. Dans tous les cas, être ace ou aromantique fait partie intégrante de la communauté LGBTQIA+. C’est juste si peu représenté que l’on considère encore trop souvent les personnes asexuelles comme cassées ».Si Willy Wonka n’est pas méchant », mais plutôt gris dans son écriture, et qu’il se place dans une oeuvre pour enfant, son absence de sexualité ou d’intérêt romantique se justifie ainsi. Enfin, si on garde à l’esprit qu’il est une figure parentale pour Charlie, il est estampillé à ce rôle. Combien d’enfants peinent à voir leurs parents relationner avec d’autres adultes ?Je m’aperçois que ne n’ai pas vraiment fait une analyse cinématographique en tant que telle de ce film. Je me suis plus intéressé au fond qu’à la forme. De même que je pourrais tergiverser sur l’expression de genre de Willy en rajouterait une couche argumentaire dans son queer-coding, mais ce ne serait pas pertinent. Il est l’image du dandy, avec ses hauts-de-forme et ses costumes. D’ailleurs, il conserve sa veste en velours tout le long de la visite —, donnant au film un caractère intemporel. Conclusion sur mon analyse de Charlie et la Chocolaterie de Tim Burton On y retrouve les clichés du conte de Noël, le paysage enneigé, les valeurs chrétiennes et les bons sentiments qu’incarnent Charlie et sa famille. Le narrateur n’est pas sans ironie, et le film possède quelques blagues d’humour noir — comme l’hôpital des grands brûlés, faisant allusion aux automates dans la scène d’ouverture —, une touche pince-sans-rire sur la façon dont les Anglais percevaient l’orient, et surtout une critique du capitalisme. Mais comme il s’agit d’un conte de Noël, tout finit pour le mieux ; le père de Charlie retrouve un travail, mieux payé, dans l’entreprise qui l’avait licencié suite à la venue des machines — qu’il se met logiquement à réparer. On met en garde les parents sur leurs mauvaises tendances à gâter les enfants, et Willy Wonka retrouve même la paix en s’intégrant à la famille de Charlie. La maison d’ailleurs rappelle très fort le style graphique de Tim Burton, tout en angle et branlant. Si vous aimez les théories, je vous invite à consulter cette vidéo de Doremie. Je reviendrai probablement sur ce Charlie et la Chocolaterie en me basant sur le film de 1971, et le roman — quand j’aurais mis la main sur les deux. Dans tous les cas, j’espère que vous avez passé un bon réveillon, et que le repas de famille n’a pas été trop houleux dès le deuxième verre de vin.
Cedocument constitue un questionnaire de 21 pages sur le roman de Roald Dhal, dans lequel les questions sont posées au fil des chapitres (qui sont indiqués au fur et à mesure du questionnaire). On y trouve des questions ouvertes, à choix multiples, ordre chronologique, v
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